Comme j’taime mon lapinou... j’léchouille ton venventre, mordille tes pattes et de temps en temps tu fais un drôle de bruit. Le regard rêveur, je grignote tendrement tes longues oreilles et je ne les lâche même pas pendant mon sommeil. Je te transporte de canapé à canapé et te tiens bien fort, quand quelqu’un veut te regarder. Parfois maman te prend, quel malheur, alors je gémis et je pleure sans arrêt, je saute comme un malade le long de ses jambes et j’essaye de t’atteindre. Elle veut te réparer, te donner des coups d’aiguille et passer son fil, mais moi je veux juste qu’elle te rende mon lapin d’amour. Une fois elle t’a posé sur la table à manger, mais de mon lit en hauteur je pouvais te voir. Un grand saut et hop, j’étais près de toi... et maman m’a regardé bizarrement. Elle a dit que les teckels ne peuvent pas être sur la table en un bond... ben si, je peux, faut juste que le bon argument soit dessus.
Votre Giiiiiiiiiiiiiiiiismo